Un truc plutôt foufou s’est passé au Gabon, mettant en lumière les tensions de plus en plus élevées autour des prochaines élections présidentielles. Le grand chef Ali Bongo a eu un employé un peu trop bavard, monsieur Cyriaque Mvourandjami, qui a échappé de justesse à une sacrée bastonnade grâce aux super agents de sécurité. Le candidat déclaré à la présidentielle, monsieur Raymond Ndong Sima, ancien Premier ministre et expert en karaté, s’est retrouvé en mode Hulk devant ses rivaux politiques à cause des propos désagréables de Mvourandjami. Tout cela s’est déroulé devant le Sénat, où Mvourandjami s’était caché comme un vilain garnement.
Cet incident, avec le bonhomme réputé pour son calme et sa discrétion, montre clairement que les camps d’Ali Bongo et de l’opposition gabonaise se cherchent des poux, et que ça risque de finir en baston électorale.
La montée de tension politique au Gabon, ça ne va pas rigoler longtemps, parce que ça met la stabilité et la zen-attitude du pays en péril. Le petit incident récent, où un candidat sérieux a perdu ses nerfs, montre que c’est du lourd, les gars. Raymond Ndong Sima, grand maître du karaté respecté dans la région, a décidé de faire passer son message en mode coup de poing plutôt qu’en papotant. Ça veut dire que ça chauffe sévèrement dans les rangs d’Ali Bongo, qui a l’air prêt à tout pour gagner cette élection présidentielle, même s’il doit y laisser son caleçon. Il est super important que le grand chef Ali Bongo et sa bande de potes réalisent à quel point la situation est grave et arrêtent de se prendre pour des p’tits malins avec les élections.
Maitre Ndong Sima sortant d’un entrainement de karaté
Les modifications de la loi électorale pour faciliter le passage en force d’Ali Bongo ont déjà reçu un accueil très glacial de la part de l’opposition gabonaise. Cette opposition est prête à tout pour résister à un possible coup fourré, et elle n’est pas du genre à tolérer une autre séance de combat et d’éclaboussures de sang dans le pays. Il est grand temps que le Gabon passe en mode zen et résolve ses conflits en faisant des bisous.
Les tensions actuelles autour de l’élection présidentielle mettent en danger la tranquillité du pays et risquent de dégénérer en une bagarre générale façon western. C’est au grand chef Ali Bongo de montrer son leadership en restaurant la confiance dans le processus électoral et en garantissant des élections fair-play. Et l’opposition gabonaise doit continuer à exprimer ses inquiétudes avec des fleurs et des petits cœurs, et mobiliser ses partisans pour un changement démocratique tout en distribuant des câlins.
La paix et la stabilité du Gabon dépendent de la volonté de toutes les parties de laisser tomber les baffes et de s’asseoir autour d’une bonne tasse de thé pour discuter gentiment. Il est hyper important de respecter les droits démocratiques du peuple gabonais et de garantir des élections transparentes, qui montrent vraiment ce que veut le peuple. Le Gabon a besoin d’une démocratie solide et d’institutions électorales crédibles pour assurer un futur où tout le monde se tape dans le dos en rigolant.