Avec Oligui, un milliard ne fait plus un kilomètre de route bitumée, mais trois. Fini la magouille !

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Avec un coût global fixé à 140 milliards de FCFA, soit 466 666 667 FCFA par kilomètre, ce chantier pulvérise les anciennes pratiques budgétivores héritées des régimes précédents, où le même kilomètre de route coûtait jusqu’à 1 milliard de francs CFA. Jamais, sous les Bongo, les Gabonais n’avaient vu une telle rationalisation des finances publiques couplée à une vision aussi ambitieuse de désenclavement national.

Ci-dessous , la route Alembe–Mikouyi, long de 300 kilomètres.

Ce projet d’envergure, en grande partie financé par la BGFIBank, est porteur de promesses concrètes : ouvrir les territoires isolés, fluidifier les échanges, dynamiser les activités économiques et renforcer l’articulation entre les axes routiers, ferroviaires et aériens. Le tout, sans surfacturation ni scandale de malversations.

Pour le ministre des Travaux publics, Edgard Moukoumbi, il s’agit du plus long tronçon jamais confié à une seule entreprise dans notre pays. Un défi technique de taille, notamment en raison de la traversée de la réserve naturelle de la Lopé, mais aussi un gage de confiance envers les entreprises nationales et régionales compétentes.

Ce chantier n’est pas un simple ruban que l’on découpe pour la galerie. Il est la preuve vivante de la rupture promise par le Président Oligui Nguema : celle d’une gouvernance rigoureuse, patriotique et tournée vers des résultats tangibles. Désormais, chaque franc investi doit produire un impact mesurable. Et c’est exactement ce qui se passe.

Alors que le bitume servait jadis à goudronner les portefeuilles de quelques-uns, il sert aujourd’hui à relier les peuples et les provinces. Oui, le Gabon change. Et ce changement porte un nom : Brice Clotaire Oligui Nguema.

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