La récente sortie médiatique de la chanteuse gabonaise Patience Dabany a suscité l’indignation au sein de la société gabonaise. Les propos désobligeants et menaçants tenus à l’égard du président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, ne peuvent être ignorés. Cette attitude irresponsable et les menaces de « tout gaspiller » soulèvent des préoccupations sérieuses quant aux intentions de Patience Dabany. Il est impératif que de telles déclarations soient condamnées, et que l’auteure en réponde devant la loi.
Dans la conversation téléphonique largement diffusée sur les réseaux sociaux, Patience Dabany exprime sa colère envers le président de la Transition, le qualifiant d’ingrat et remettant en question son traitement envers son fils, Ali Bongo. Ces accusations graves, dénuées de fondement, jettent le discrédit sur la personne du président Oligui Nguema.
De plus, la menace de « tout gaspiller » soulève des inquiétudes quant à la stabilité émotionnelle de Patience Dabany et à la sécurité publique. De telles déclarations ne peuvent être prises à la légère, surtout lorsque des personnalités publiques sont impliquées.
Il est essentiel que la société gabonaise condamne fermement de tels comportements, surtout de la part d’une personnalité aussi connue que Patience Dabany. Les autorités compétentes doivent prendre des mesures pour enquêter sur ces propos et évaluer toute menace potentielle à la stabilité et à la sécurité du pays.
L’appel à « tout gaspiller » ne doit pas être ignoré, car il pourrait être interprété comme une menace sérieuse et une intention de nuire. Les autorités judiciaires doivent agir en conséquence pour protéger l’ordre public et garantir la sécurité de tous les citoyens.
Face à cette situation, les autorités judiciaires doivent prendre des mesures immédiates pour enquêter sur les propos de Patience Dabany et déterminer si des actions légales doivent être engagées à son encontre. Les menaces et les diffamations ne peuvent être tolérées, même de la part de personnalités publiques.
L’indignation causée par les propos de Patience Dabany ne doit pas rester sans réponse. La société civile, doit défendre la légalité, la stabilité et la sécurité de notre pays. Il est temps que chacun réponde de ses actes devant la loi, indépendamment de sa notoriété. La justice doit être rendue, et les menaces irresponsables ne doivent pas être prises à la légère.