Récemment, des accusations controversées ont été formulées à l’encontre d’Alfred Mabika Mouyama, affirmant qu’il abuse de son statut d’exilé en France. Ces accusations soulignent une prétendue tricherie de sa part, suggérant qu’il bénéficierait indûment de privilèges tout en poursuivant des activités suspectes, notamment en effectuant des voyages clandestins entre la France et le Gabon via le Congo-Brazzaville.
Ce débat soulève plusieurs questions cruciales sur la véracité de ces affirmations et sur la manière dont le statut d’exilé est géré. Les accusations selon lesquelles Mabika Mouyama percevrait des allocations de l’État français tout en naviguant entre les frontières de manière illégale ont provoqué des réactions mitigées. Certains accusateurs estiment que ces allégations révèlent un abus flagrant du système, tandis que d’autres appellent à la prudence, en soulignant l’importance de la preuve avant de tirer des conclusions hâtives.
Selon Dr. Mouketou, les allégations selon lesquelles Alfred Mabika Mouyama percevrait une allocation de l’État français en tant qu’exilé politique, tout en effectuant des voyages illégaux entre la France et le Gabon via le Congo-Brazzaville, sont entièrement fausses. Il souligne que les citoyens de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale, dont le Gabon fait partie, bénéficient de la libre circulation au sein de cette région, ce qui rend ces accusations non seulement injustifiées mais également mal informées. Cette libre circulation est comparable à celle des citoyens européens dans l’Union européenne, permettant des mouvements légaux et réguliers entre les pays membres.
Dr. Mouketou rejette également les critiques qui accusent Mabika Mouyama de ne pas revenir directement au Gabon via l’aéroport international Léon MBA de Libreville, plutôt que de passer par la frontière de Doussala. Selon lui, ces critiques manquent de preuves concrètes. Il appelle ceux qui propagent ces rumeurs à fournir des preuves tangibles des allégations financières, en se référant à Jean 8:32, qui proclame : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres ». Dr. Mouketou insiste sur le fait que les accusations sans fondement ne peuvent que nuire à la réputation des individus visés.
Il est essentiel d’examiner ces accusations avec rigueur et impartialité. Alors que certains dénoncent ce qu’ils considèrent comme une manipulation du statut d’exilé, d’autres défendent Mabika Mouyama en affirmant que ces critiques sont basées sur des rumeurs et des spéculations. Pour clarifier cette situation complexe, il est nécessaire de distinguer les faits des rumeurs et de garantir que toute accusation est fondée sur des preuves concrètes.