Affrontement à l’aéroport Léon Mba : Pourquoi la réaction du gendarme était inévitable et justifiée (témoignage exclusif)

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Les réseaux sociaux s’enflamment, les débats se multiplient et certains s’indignent : un diplomate britannique a été empêché d’embarquer par un gendarme gabonais à l’aéroport international Léon Mba. Un scandale ? Pas du tout. Une démonstration éclatante de souveraineté nationale et de respect des règles internationales en matière d’aviation.

Super Star n’a pas hésité à souligner une vérité que d’autres refusent d’entendre : au Gabon d’aujourd’hui, plus personne n’est au-dessus des lois, pas même un diplomate britannique. Nous avons rappelé que, sous le régime d’Ali Bongo, les étrangers jouissaient d’une impunité qui méprisait la dignité des Gabonais. Aujourd’hui, les choses ont changé. Ce message a déclenché une avalanche d’injures à notre encontre, certains allant jusqu’à nous traiter de « journaleux » ou de « chiffon ».

Mais l’insulte est l’arme des ignorants. Ce n’est pas parce qu’un texte dérange que son auteur est incompétent. La véritable bêtise, c’est de juger sans chercher à comprendre. Heureusement, un témoignage d’une autorité aéroportuaire vient éclairer cette affaire et nous donner raison.

Contrairement à la version déformée propagée par certains, ce diplomate britannique n’a pas été bloqué sans raison. Il a été pris en flagrant délit de violation des règles de sûreté aéroportuaire !

Images de l’incident capturées sur la vidéo qui est devenue très vite virale

Témoignage d’une autorité de la sécurité aéroportuaire (source : L’Œil de la Nasa) :

« En aviation civile, il existe des règles établies par l’OACI (Organisation de l’Aviation Civile Internationale), une agence spécialisée des Nations Unies chargée de fixer les normes et réglementations pour l’aviation civile internationale. Ces règles s’appliquent à tous, sans distinction de statut, y compris aux diplomates. De plus, la zone où l’infraction a eu lieu est un élément déterminant, notamment lorsqu’il s’agit d’un espace strictement réglementé.

Il est formellement interdit dans tous les aéroports du monde de filmer les infrastructures aéroportuaires, un acte assimilé à une menace pour la sécurité, voire à du terrorisme.
  Dans ce cas précis, l’individu voyageait en empruntant le circuit VIP. Cepen
dant, il a échappé à la vigilance des agents qui étaient chargés de l’accompagner et s’est rendu seul dans une zone réglementée, où il a commencé à filmer le pavillon présidentiel ainsi que d’autres infrastructures sensibles. Les caméras de surveillance ont confirmé son intention de s’introduire par un petit portillon, heureusement fermé.
  Étant donné que cette zone est hautement sécurisée et sous la surveillance d’une brigade de gendarmerie, les forces de l’ordre sont immédiatement intervenues. Elles lui o
nt demandé de supprimer les images enregistrées, mais l’individu a refusé catégoriquement d’obtempérer. Il a même provoqué un incident en élevant la voix devant le responsable de la sécurité français, présent sur les lieux.
  C’est grâce à l’intervention de
ce dernier que la situation a pu être maîtrisée, permettant ainsi à l’individu de prendre son vol. Contrairement aux rumeurs, les gendarmes n’ont jamais été sanctionnés pour leur intervention. »

Que faut-il retenir de cette déclaration ?

  1. Infraction majeure : filmer une zone réglementée
      L’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) interdit formellement de filmer les infrastructures sensibles des aéroports. C’est une règle mondiale, applicable de Londres à Libreville. Or, ce diplomate a filmé le pavillon présidentiel et d’autres structures sensibles, mettant en péril la sécurité de l’aéroport. Ce n’est pas un simple oubli, mais un acte grave assimilable à une menace sécuritaire.
  2. Non-respect du protocole VIP
      Le diplomate devait emprunter le circuit réservé aux personnalités importantes, mais il a choisi de circuler seul dans une zone restreinte, échappant ainsi à la vigilance des agents chargés de son accompagnement. Pis encore, il a tenté de s’introduire par un petit portillon fermé, comme l’ont confirmé les caméras de surveillance.
  3. Refus d’obtempérer et arrogance
      Lorsqu’il a été interpellé, l’individu a refusé d’effacer les images enregistrées et a provoqué un incident en élevant la voix devant un responsable de la sécurité français présent sur place. Ce dernier a permis de calmer la situation, autorisant ainsi l’individu à embarquer.

Face à un individu en infraction, le gendarme a appliqué la loi avec fermeté et professionnalisme. Et contrairement aux rumeurs, il n’a subi aucune sanction. Cette affaire marque un tournant : le Gabon ne courbe plus l’échine devant les puissances étrangères. Il applique ses lois, protège sa souveraineté et exige le respect de ses institutions.

Ce diplomate britannique a appris à ses dépens que le Gabon d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier. La complaisance d’antan a disparu. Tout étranger, qu’il soit ambassadeur ou ministre, doit respecter les règles du pays hôte. Et qu’on se le dise : la police gabonaise, la gendarmerie et tous les corps en charge de la sécurité nationale ne sont plus là pour exécuter les caprices de diplomates arrogants.

Super Star ne se taira pas
 Aux détracteurs qui nous insultent, nous disons ceci : nous continuerons à dire la vérité, même si elle dérange. Nous continuerons à défendre le Gabon contre ceux qui voudraient le rabaisser. Nous continuerons à soutenir nos forces de l’ordre lorsqu’elles défendent l’honneur et la souveraineté de la nation.
  Le temps de l’impunité est révolu. Le Gabon avance, et ceux qui veulent le piétiner devront désormais faire face à un État debout !

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