Accusations, insultes et impasse : les coulisses explosives du conflit au Samu Social gabonais.

ll semble que le Samu Social Gabonais soit devenu un véritable ‘’bordel’’ , où les discussions entre le Coordonnateur Général, Wenceslas Yaba, et le Collectif des Ex-Agents ont pris une tournure aussi dramatique que comique. Ce qui devait être une main tendue pour résoudre les différends est rapidement devenu une partie de bras de fer, avec des accusations qui fusent plus vite que les répliques d’un duel à l’épée.

D’après notre confrère « La Fuite de l’Info », toujours en première ligne pour capturer le moindre éclat de cette tragi-comédie, Orcel Vianney Mickoto, le chef d’orchestre du Collectif des Ex-Agents, a levé le voile sur une supercherie digne des plus grands illusionnistes. Wenceslas Yaba, le maestro du Samu Social, aurait embobiné tout le monde avec des fausses informations bien ficelées sur le Collectif. On croirait presque qu’il prépare une carrière dans la fiction, tant ses récits semblent sortir tout droit d’un feuilleton à rebondissements.

Mais la pièce ne s’arrête pas là. Le Collectif, en bon spectateur lucide, dénonce également le refus obstiné de Yaba de s’engager dans un dialogue formel et juridiquement encadré avec la Confédération Syndicale Dynamique Unitaire. Une posture qui fait grimper les tensions plus vite qu’une fusée, laissant les ex-agents dans l’expectative d’un dialogue qui n’arrive jamais.

Comme si cela ne suffisait pas, Yaba a jugé bon d’assaisonner le tout avec des insultes dignes des meilleures disputes de quartier, qualifiant le Collectif de « voyous de grands chemins » et de personnes de mauvaise foi. Des propos qui rappellent les dialogues acerbes des films d’action, sauf qu’ici, ce sont les ex-agents qui en prennent plein la figure. Le Collectif, loin de se laisser intimider, a décidé de ne pas en rester là et de prendre les choses en main pour rétablir ce qu’ils estiment être leur dû.

Ce qui devait être une simple négociation s’est transformé en un spectacle digne des planches, où chaque acte est plus tendu que le précédent. On espère que le rideau tombera sur une note plus apaisée, où la justice l’emportera sur les querelles de bac à sable. En attendant, il est clair que l’histoire est loin d’être terminée, et que le public, tout comme les ex-agents, attend de voir si cette comédie d’erreurs trouvera une issue équitable.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *