Abandonnée, pillée, ruinée : le crime contre la ferme Sotrader de Ntoum exige la justice d’Oligui

Malgré son potentiel significatif dans le domaine agricole et l’impact économique et social qu’elle aurait dû apporter à la région, la ferme de Ntoum Sotrader a été la victime d’un abandon délibéré, dû à la gabegie et au manque de patriotisme de ses anciens gestionnaires d’État. Les conséquences de leur négligence sont désastreuses : des engins mécaniques et autres outils agricoles sont laissés en plein air, hors d’usage, tandis que les bâtiments et leurs installations de production sont laissés à l’abandon, délabrés.

Cette visite révèle la profondeur du désastre et souligne l’urgence d’une action immédiate. Le gouvernement doit s’engager fermement dans la restauration de cette infrastructure vitale, non seulement pour revitaliser le secteur agricole, mais aussi pour garantir la sécurité alimentaire et stimuler le développement économique du Gabon.

Le président Brice Clotaire Oligui Nguema devant les ruines de ce qui aurait pu devenir un juron de l’économie agricole du Gabon.

Cependant, la reconstruction ne suffit pas. Il est impératif que justice soit rendue pour les responsables de cette tragédie. Ceux qui ont contribué à la destruction délibérée de ce projet doivent être traduits devant la justice. Le président de la transition et le CTRI doivent prendre des mesures concrètes pour que les coupables répondent de leurs actes. Le peuple gabonais en a assez de voir les responsables de tels désastres se pavaner en toute liberté et impunité.

Nous lançons un appel solennel à tous les citoyens, à toutes les institutions et à toutes les organisations de la société civile : ne restez pas silencieux devant cette injustice flagrante. Exigez que ceux qui ont sacrifié l’avenir de notre nation pour leurs propres intérêts égoïstes rendent des comptes. Ensemble, nous pouvons reconstruire non seulement une ferme, mais aussi notre confiance en un avenir meilleur pour le Gabon.

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