Depuis le boom pétrolier de la Guinée Équatoriale, de nombreuses chanteuses gabonaises originaires de la province du Woleu-Ntem se rendent dans ce pays sous couvert de chercher des promoteurs. En réalité, elles y sont exploitées sexuellement par de riches Equato-Guinéens en quête de sensations fortes.
Ci-dessous image de la Guinée équatoriale qui fait rêver.
Ces pratiques ont été confirmées par la communauté artistique du Grand Nord, où ces chanteuses sont originaires.
Certaines sont même allées jusqu’à se marier pour obtenir plus d’argent et de prestige, mais ont rapidement fui leurs maris, de véritables tortionnaires qui les maltraitaient et leur rappelaient les souffrances infligées à leurs parents par les Gabonais avant l’essor économique du pays.
Ce trafic sordide est orchestré notamment par un proxénète notoire, Macho Bis, qui recrute ses « proies » dans l’entourage artistique gabonais et camerounais.
Il les soumet à un test avant de les livrer à ses clients riches et influents.
Malgré la recherche active d’un grand notable gabonais qu’il aurait dépouillé de sa femme, Macho Bis continue de sévir dans les villes frontalières entre le Gabon et la Guinée Équatoriale pour trouver de « la chair fraîche ».
Il est grand temps pour que les autorités gabonaises prennent des mesures pour mettre fin à cette pratique scandaleuse qui salit l’image du pays depuis trop longtemps.