Ali Bongo jeté à la poubelle comme un torchon par ses anciens serviteurs : La grande trahison des pédégistes

Le Gabon vient d’assister à une scène d’une rare brutalité politique, un spectacle de traîtrise digne des plus sombres pages de l’histoire. Lors de la récente assemblée des membres du directoire du Parti Démocratique Gabonais (PDG), ceux qui, hier encore, gravitaient autour d’Ali Bongo, s’empressaient de lui prêter allégeance, de partager les richesses du pays à ses côtés, l’ont purement et simplement effacé de leur histoire. En un instant, celui qui était l’architecte de leur ascension, celui qui avait forgé leurs carrières, a été jeté comme un vulgaire torchon, trahi par les siens.

Le PDG, fidèle à sa réputation de caméléon, n’a pas perdu de temps pour changer de camp. Face aux nouvelles autorités en place, les pédégistes ont choisi de plier l’échine, allant jusqu’à prêter allégeance au général Brice Oligui Nguema et à son régime militaire. Lors de cette rencontre, aucun symbole, aucun tissu, aucun t-shirt ne portait l’effigie d’Ali Bongo, l’homme qui, il y a quelques mois encore, incarnait leur pouvoir absolu. Ce silence est lourd de sens : Ali Ali Bongo jeté à la poubelle comme un torchon par ses anciens valets : La grande trahison des pédégistes

Le Gabon vient d’assister à une scène d’une rare brutalité politique, un spectacle de traîtrise digne des plus sombres pages de l’histoire. Lors de la récente assemblée des membres du directoire du Parti Démocratique Gabonais (PDG), ceux qui, hier encore, gravitaient autour d’Ali Bongo, s’empressaient de lui prêter allégeance, de partager les richesses du pays à ses côtés, l’ont purement et simplement effacé de leur histoire. En un instant, celui qui était l’architecte de leur ascension, celui qui avait forgé leurs carrières, a été jeté comme un vulgaire torchon, trahi par les siens.

Le PDG, fidèle à sa réputation de caméléon, n’a pas perdu de temps pour changer de camp. Face aux nouvelles autorités en place, les pédégistes ont choisi de plier l’échine, allant jusqu’à prêter allégeance au général Brice Oligui Nguema et à son régime militaire. Lors de cette rencontre, aucun symbole, aucun tissu, aucun t-shirt ne portait l’effigie d’Ali Bongo, l’homme qui, il y a quelques mois encore, incarnait leur pouvoir absolu. Ce silence est lourd de sens : Ali Bongo, une figure autrefois vénérée au sein du PDG, est désormais un pestiféré, oublié de tous.

PDG nouvelle formule .

La scène est d’une cruauté sans nom. Les mêmes qui se pressaient à sa table, qui bénéficiaient de ses largesses, se sont détournés de lui sans la moindre hésitation. Ce comportement n’est pas seulement une démonstration d’ingratitude. C’est une véritable forme de sorcellerie politique, une sorcellerie où la loyauté n’a plus de valeur, où la trahison devient une règle de survie.

Ce retournement de veste du PDG est particulièrement frappant. En choisissant de soutenir la nouvelle constitution et de lécher les bottes du pouvoir en place, ils montrent une fois de plus qu’ils ne survivent que par opportunisme. Leur seule force, c’est de s’aligner avec celui qui tient les rênes, quel qu’il soit, et de lui offrir une soumission sans faille.

Mais Oligui et son entourage seraient bien avisés de tirer les leçons de cette trahison. Aujourd’hui, ils sont les bénéficiaires de cette allégeance opportuniste, mais demain, ils pourraient en être les victimes. Car si le PDG a pu trahir Ali Bongo, un homme qui a fait d’eux ce qu’ils sont, qu’en sera-t-il quand le vent tournera de nouveau ? Le même sort les attend : ils seront, à leur tour, jetés à la poubelle, comme un torchon usé.

La sorcellerie politique à laquelle nous avons assisté est un avertissement pour tous ceux qui se croient indétrônables. Le pouvoir est éphémère, et la loyauté, dans ce système, n’est qu’une illusion., une figure autrefois vénérée au sein du PDG, est désormais un pestiféré, oublié de tous.

La scène est d’une cruauté sans nom. Les mêmes qui se pressaient à sa table, qui bénéficiaient de ses largesses, se sont détournés de lui sans la moindre hésitation. Ce comportement n’est pas seulement une démonstration d’ingratitude. C’est une véritable forme de sorcellerie politique, une sorcellerie où la loyauté n’a plus de valeur, où la trahison devient une règle de survie.

Ce retournement de veste du PDG est particulièrement frappant. En choisissant de soutenir la nouvelle constitution et de lécher les bottes du pouvoir en place, ils montrent une fois de plus qu’ils ne survivent que par opportunisme. Leur seule force, c’est de s’aligner avec celui qui tient les rênes, quel qu’il soit, et de lui offrir une soumission sans faille.

Mais Oligui et son entourage seraient bien avisés de tirer les leçons de cette trahison. Aujourd’hui, ils sont les bénéficiaires de cette allégeance opportuniste, mais demain, ils pourraient en être les victimes. Car si le PDG a pu trahir Ali Bongo, un homme qui a fait d’eux ce qu’ils sont, qu’en sera-t-il quand le vent tournera de nouveau ? Le même sort les attend : ils seront, à leur tour, jetés à la poubelle, comme un torchon usé.

La sorcellerie politique à laquelle nous avons assisté est un avertissement pour tous ceux qui se croient indétrônables. Le pouvoir est éphémère, et la loyauté, dans ce système, n’est qu’une illusion.

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