Prolifération des drogues, jeunesse en danger : il est temps pour le CTRI de frapper fort.

Depuis l’arrivée au pouvoir des militaire, les drogues continuent de circulent de manière inquiétante dans les quartiers et jusque dans les établissements scolaires. Les trafiquants, toujours plus audacieux, ciblent sans vergogne les jeunes, souvent vulnérables et influençables, qui tombent dans le piège de l’illusion d’un plaisir facile. Les conséquences sont désastreuses : addictions, échecs scolaires, et des vies ruinées avant même d’avoir pleinement commencé.

Malgré l’urgence de la situation, le manque de fermeté du CTRI face à cette crise devient préoccupant. Bien que des annonces aient été faites, les actions concrètes et répressives tardent à se matérialiser. Les mesures restent insuffisantes et laissent le champ libre aux trafiquants, tandis que la jeunesse continue de sombrer sous le poids de cette menace.

Il est temps que le CTRI prenne des décisions fortes et mette en place une véritable stratégie de lutte contre la prolifération des drogues. Cela passe par une répression stricte et intransigeante contre les trafiquants, mais aussi par une intensification des efforts de prévention et de sensibilisation dans les écoles et les quartiers. Les jeunes doivent être informés des dangers réels des drogues, et des structures d’accompagnement doivent être créées pour ceux déjà affectés.

L’avenir du Gabon dépend de sa jeunesse. Si le CTRI n’adopte pas rapidement une position de fermeté pour contrer la prolifération des drogues, c’est toute une génération qui pourrait être perdue. L’heure n’est plus à la demi-mesure. Il faut agir avec détermination et frapper fort, pour sauver la jeunesse et préserver l’avenir du pays.

La jeunesse gabonaise est aujourd’hui en proie à une crise inquiétante : la prolifération des substances illicites dans les quartiers, particulièrement dans les centres urbains tels que Libreville. Ce problème, exacerbé par des réseaux clandestins bien organisés, détruit des familles et compromet l’avenir des jeunes.


Sous forme de poudre, de comprimés pharmaceutiques ou de tabac, la drogue a envahi les grandes villes du Gabon, semant le chaos au sein de la jeunesse gabonaise.

Dans les rues, il n’est plus rare de voir des personnes marginalisées, souvent vulnérables comme des mendiants ou des individus en situation de handicap, jouer un rôle actif dans la distribution de comprimés et autres drogues interdites. Comment expliquer que des adolescents, sans jamais quitter le territoire, puissent accéder si facilement à ces substances ? La réponse réside dans un laxisme et une corruption aux points stratégiques de contrôle.

Des conteneurs remplis de produits illégaux, camouflés au milieu de cargaisons banales, traversent les douanes sans subir de véritables inspections. Cette absence de rigueur permet aux drogues de se retrouver dans les écoles, les quartiers et sur les marchés gabonais. Les trafiquants, souvent étrangers, exploitent cette faille en agissant en toute impunité, tandis que les autorités peinent à réagir de manière décisive.

Pour lutter efficacement contre cette menace, un changement radical de mentalité s’impose. Le combat contre la corruption doit être renforcé, tout comme la collaboration entre citoyens et forces de l’ordre. Une vigilance accrue à tous les niveaux est essentielle. Le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) doit jouer un rôle primordial en multipliant les actions pour identifier les acteurs impliqués et démanteler les circuits d’importation illégale.

Le Gabon a les ressources pour garantir un avenir prometteur à sa jeunesse, mais cela ne sera possible que si la lutte contre la drogue devient une priorité nationale. Suivons la voie tracée par nos dirigeants et engageons-nous résolument pour protéger l’avenir de nos enfants.

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