Révolution sociale: « Chocolat des Filles » : le petit qui dézingue les charlatans religieux du Gabon et d’ailleurs

En l’espace de quelques mois, « Le Chocolat des Filles » s’est imposé comme l’une des personnalités publiques les plus médiatisées du Gabon, juste après le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema. Ce jeune intellectuel, toujours élégant avec ses lunettes rondes, secoue actuellement la société gabonaise à travers la toile en remettant en cause l’influence de certaines églises de réveil, souvent dirigées par des gourous sans scrupules.

Ses critiques acerbes dénoncent les pratiques immorales de ces pseudo-pasteurs qui exploitent leurs fidèles à travers des doctrines fallacieuses. Les accusations portées contre eux incluent des abus tels que l’exploitation financière, les abus sexuels, et la destruction de foyers. Ces dénonciations ont rendu « Le Chocolat des Filles » extrêmement populaire parmi les Gabonais, tant au pays qu’à l’étranger, accumulant des centaines de milliers de fans sur les réseaux sociaux.

Ci-dessous, en images, l’accueil réservé à la nouvelle idole par des dizaines de fans de tout âge venus le soutenir à son arrivée au tribunal.

Cependant, cette popularité ne vient pas sans son lot de défis. En effet, « Le Chocolat des Filles » s’est attiré l’ire des leaders des églises de réveil. Parmi eux, le célèbre activiste et leader religieux ivoirien, Camille Makosso, l’a violemment insulté sur les réseaux sociaux. Un autre pasteur gabonais a tenté de l’affronter lors d’un débat télévisé, mais a été ridiculisé par qui a révélé des faits indéniables sur la vie de débauche du pasteur, incluant l’alcool, le sexe, et d’autres déviances.

Au début de la semaine, le jeune leader répondait à la plainte du sulfureux pasteur Nzoma au tribunal de Libreville. De nombreux Gabonais se sont rassemblés pour soutenir ce digne fils d’Afrique, qui prône le retour aux valeurs africaines et ancestrales. Le dénouement de cette affaire est très attendu par le peuple gabonais.

« Le Chocolat des Filles » ne se contente pas de critiquer, il incarne une révolution sociale en invitant la jeunesse à s’élever contre les injustices et à embrasser un avenir basé sur l’intégrité et les valeurs culturelles authentiques. Cette figure montante de la scène médiatique gabonaise montre qu’il est possible de faire entendre sa voix et de provoquer un véritable changement dans la société.

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