Sabotage du Dialogue National Inclusif : la honteuse manipulation des perdiems des journalistes – Des têtes doivent tomber

Les journalistes, acteurs essentiels de cet événement, sont aujourd’hui les victimes d’une injustice flagrante. Malgré leur dévouement et leur professionnalisme, ils sont privés de leurs perdiems, une insulte à leur engagement pour informer le public.

Les dessous de cette affaire semblent révéler une triste réalité : la corruption règne encore en maître dans les sphères du pouvoir malgré la transition. Des individus avides, habitués aux magouilles, ont une fois de plus trahi la confiance du président Oligui, qui appelle les Gabonais à un changement de mentalité. Des listes parallèles ont été ajoutées à celle des médias établie et validée par le Secrétariat Général du Ministère de la Communication chargé des médias, sous le regard vigilant de la HAC et du Ministère de la Réforme des Institutions, bafouant ainsi toute notion d’équité et d’intégrité.

Aujourd’hui, la colère gronde parmi les journalistes. Ils se sentent trahis, méprisés, sacrifiés sur l’autel de la corruption. Certains auraient même été payés dans le silence, étouffant ainsi toute contestation.

Ce scandale est une tache indélébile sur l’image du Dialogue National Inclusif. Il révèle l’étendue de la pourriture qui gangrène encore nos institutions, où les intérêts personnels priment sur l’intérêt général. Il est temps de mettre fin à cette culture de l’impunité, de demander des comptes aux responsables et de restaurer la confiance entre les médias et les autorités.

Le peuple gabonais mérite mieux que d’être le jouet de quelques individus corrompus. Il est temps de rendre justice aux journalistes qui ont courageusement fait leur devoir, et de mettre un terme à cette culture de la corruption qui nous entrave depuis trop longtemps.

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