Sous le joug oppressif d’Ali Bongo, le taux de chômage au sein du CTRI a atteint des sommets alarmants, laissant dans son sillage un pays ravagé par le désespoir et la misère. Les politiques restrictives de recrutement imposées par ce despote déchu ont transformé le CTRI en un champ de bataille économique, où seuls les favorisés de son régime corrompu pouvaient espérer trouver un emploi.
Pendant des années, Ali Bongo a délibérément sapé les opportunités d’emploi pour ses propres desseins égoïstes, condamnant ainsi des milliers de citoyens à une vie de précarité et de désespoir. Son régime despotique a non seulement pillé les richesses du pays, mais il a également asphyxié toute chance de progrès économique en étouffant l’ascension des talents et en écrasant les aspirations des jeunes diplômés.
L’ancien régime a sciemment fermé les portes de l’emploi pour maintenir son emprise sur le pouvoir, sacrifiant les espoirs et les rêves de toute une nation sur l’autel de sa propre ambition insatiable. La politique de recrutement discriminatoire de Bongo a non seulement privé le CTRI de ses ressources humaines les plus précieuses, mais elle a également étouffé tout espoir de développement économique et social pour les générations futures.
Alors que le peuple se relève des ruines laissées par le despote, il est temps de rendre justice aux victimes de son règne tyrannique. La réouverture des processus de sélection au CTRI marque le début d’une nouvelle ère, où la mémoire des atrocités commises par Ali Bongo servira de catalyseur pour un changement radical. Nous ne devons jamais oublier les ravages causés par ce despote et nous efforcer de reconstruire un avenir où la justice et l’égalité règnent en maîtres.